Médiation animale

animal allié thérapeutique

Votre animal de compagnie, un allié thérapeutique!

animal allié thérapeutique

Selon un sondage Ipsos, 68% des Français considèrent leur animal de compagnie comme un membre de leur famille. Plus d’un Français sur deux possède au moins un animal de compagnie ( Sondage Ipsos du 21/06/2023).

Le télétravail, et le récent confinement du à la pandémie de Covid ont permis bien souvent d’approfondir la relation entre l’humain et l’animal.
Selon le site Goodflair, article du 03/01/2024, 74 millions d’animaux de compagnie ont été recensés en France en 2022. Le chiffre est exponentiel depuis les années 70. Peut-être est-ce lié, entre autres, à l’urbanisation…?

Les animaux de compagnie sont par ordre décroissant les poissons, chats, oiseaux de basse-cour, chiens, oiseaux, petits mammifères, animaux de terrarium ( Goodflair 2024).

cats 6614088 640

 » Parle-moi de ton animal, il va t’aider à te comprendre. « 


Lors de certains parcours thérapeutiques, j’ai pu observer la place spécifique occupée par le ou les animaux de compagnie. Comment ils peuvent cristalliser, générer ou régler des conflits par leur seule présence par exemple.
En constellation familiale, il est très fréquent que l’animal de compagnie représente un membre du système familial et soit donc traité d’une façon toute particulière.
Pour approfondir mon approche de la relation Humain-Animal, je me forme depuis avril 2024 à la Communication animale avec Caroline Leroux, une grande amie des animaux.

C’est ainsi que je propose désormais des séances de thérapie axées sur cette relation spécifique, avec l’animal de compagnie comme médiateur.

Les séances ont pour vocation de permettre à » l’humain » de verbaliser ce qu’il observe du comportement de son animal, ce qui l’inquiète, ce qui l’amuse ou ce qu’il ne comprend pas par exemple…Puis de faire éventuellement le lien avec son propre questionnement, sa propre expérience de vie.
Les séances permettent d’envisager autrement la relation avec l’animal, de prendre encore plus conscience qu’il est aussi un ETRE VIVANT, avec une conscience.

Les phobies, les dégoûts, les compulsions d’adoption, les abandons, la maltraitance, les soins inadaptés, la fin de vie ou le deuil d’un animal de compagnie peuvent être travaillés pour enclencher une nouvelle dynamique plus consciente et apaisée.


Depuis 2015, la loi reconnait les animaux comme doués de sensibilité.

Méditation guidée

pele mele photos jpg

Renoncer, un acte profondément thérapeutique


pêle-mêle de photos pour illustrer tous nos rêves


S’il vous plaît, asseyez-vous confortablement. Prenez quelques instants pour respirer en conscience. Soyez attentif à votre respiration. A votre corps assis . A vos appuis.
Sentez le sol. Sentez comment vous êtes assis, sentez votre bassin, vos pieds, votre colonne vertébrale, …Faites cela à votre rythme, en prenant le temps qu’il vous faut.
Sentez votre posture… Pourriez-vous la rendre un peu plus confortable? Faites cela, s’il vous plaît, avec douceur.

Lorsque vous avez fini ce petit Scan de vous-même, ce balayage de votre état, de votre humeur aussi, prenez un papier et un crayon, ou un stylo.

En restant dans cet état de calme, de disponibilité à vous-même, écrivez spontanément la première chose qui vous vient après laquelle vous courez en ce moment, ou depuis toujours.

Qu’est-ce qui vous mobilise par dessus tout? Vers quoi tendez-vous le plus? Qu’est-ce qui vous demande le plus de forces? D’énergie?
Ecrivez, sans trop réfléchir.

Ce qui vous est venu appartient à quel domaine?

La santé?

La richesse?

Le bonheur?

L’amour?

Le travail?

Qu’est-ce qui est actuellement le plus important pour vous? Quelle est votre priorité? Quel est le plus souvent votre leitmotiv, peut-être votre obsession? Ce qui vous occupe psychiquement le plus?

Là où se trouve votre principale actuelle préoccupation se trouve aussi votre principal renoncement.
Faites cela comme un exercice.

Par exemple, votre santé vous préoccupe; aujourd’hui, vous êtes malade.
Dites en vous-même, pleinement,
je renonce à avoir une autre santé que la mienne. Je renonce à user toutes mes forces pour guérir maintenant.

Ou le travail que vous cherchez sans en trouver:
Je renonce à trouver du travail. Je renonce au travail, je baisse les bras…

Ou les relations:
Je renonce à avoir des amis, un compagnon/ une compagne. Je renonce aujourd’hui à tout type de relation, d’amélioration dans mes relations…

Dites en vous-même la phrase qui vous intéresse personnellement. Sentez ce que cela produit en vous de renoncer . De renoncer à changer quelque chose de ce qui vous est maintenant proposé de vivre.

Qu’est-ce que cela fait de baisser les bras? De se sentir tout petit? Tout petit devant la force du destin…Qu’est-ce que cela fait en vous-même de vous incliner devant ce qui est?

Comment se sent-on lorsque l’on abandonne ce projet de croire que l’on peut changer les choses? Que l’on aurait cette puissance-là?

Comment se sent-on lorsque l’on cesse de combattre? D’opposer, de s’opposer?
Lorsque l’on sort de la dualité… pour entrer en unité?
L’unité d’embrasser en soi tout ce qui est, ce que l’on aime, ce que l’on rejette, ce à quoi on aspire, ce que l’on regrette, ce qui nous fait peur, ce qui nous attire, ce qui est incompréhensible… Comment se sent-on lorsqu’on accueille en soi le mystère? Lorsqu’on accueille la Vie? La vie toute entière, pas telle qu’on la voudrait, mais telle qu’elle est.


Je vous souhaite une bonne méditation. Ecrivez-moi si vous le souhaitez. Je vous souhaite une bonne méditation et une grande Respiration.



Méditation: Où est le rêve?

blur close up focus ground

Où est le rêve que vous avez pour vous?
Où est le rêve que vous avez pour le monde?


La pandémie de Covid en 2020 a fait rupture dans notre quotidien.
Soudain dans le fil de nos habitudes, arrêt sur image; une perturbation soudaine et imprévisible nous a stoppés dans notre train-train.
Notre réel a été sacrément secoué. Les mesures prophylactiques sont rentrées dans notre vocabulaire, notre façon de penser et de vivre.
Confinement, couvre-feu, masque, pass sanitaire…

Le danger s’écartant, nous avons repris nos habitudes, presque comme « avant »…Presque, car une partie de nous a bien identifié le trauma. Tapi en nous, refoulé, sommé de rester silencieux, il fait mine de s’éteindre, recroquevillé.
Cependant qu’il reste latent.

Depuis les actualités en rajoutent une couche, des couches, qui se superposent et s’additionnent.
Les médias nous assènent en continu les nouvelles d’un réel angoissant . Une culture du No future-catastrophes annoncées devient progressivement envahissante.
Nous entendons, nous voyons, nous subissons…Impuissants en grande partie à agir.
Tel le tout petit plongé dans un monde étrange au sortir du ventre de sa mère, nous devons trouver les moyens de comprendre, affronter, négocier le réel.
Activité passionnante et épuisante.
Comme le nouveau-né, nous avons besoin de dormir. D’un vrai sommeil, physiologiquement réparateur, pour intégrer la masse d’informations, de sensations et de pensées vécues chaque jour.
Notre psyché, notre cerveau ont absolument besoin de repos.
Or de surcroît, beaucoup d’entre nous dorment mal. Se sentent encore fatigués au réveil ou dans la journée. Les troubles du sommeil se multiplient.
Nous cherchons des substituts, des combines, pour essayer au moins de nous détendre.

Alors quelle est l’une des solutions?

Rêver! Rêver encore et encore!
Se laisser emporter dans un état proche du sommeil, là où les ondes cérébrales sont plus basses et plus espacées. Rêver!
Plonger dans le chaud, le confortable de la rêverie en plein jour, ou en pleine nuit.
Faire confiance aux images qui viennent, aux possibles qui s’annoncent.
Rêver…Laisser défiler le paysage, les sons, les odeurs…Respirer plus consciemment au fur et à mesure que vous rentrez dans votre bulle onirique. L’enfant qui joue déteste être dérangé. Il est pleinement dans sa création, il y croit. Pour un moment, le réel fabriqué est son réel, le meilleur car il fait sens.
Il s’illusionne, se croît cow-boy, super héros, peu importe… Pour supporter le monde et y prendre sa place, il crée son monde.
Rêver, se rêver est sa solution. Par le jeu, il met en acte au fur et à mesure ce qu’il imagine. Il invente, essaie…dans une grande concentration, avec un grand sérieux. Il rejoue aussi ce qu’il connaît du réel pour se l’approprier…Il replace toutes les pièces du puzzle pour faire du  » à lui « compréhensible, acceptable, plaisant.
Un enfant peut se saisir d’une feuille et d’un stylo, écrire une histoire, même de quelques lignes, et dire très sérieusement ensuite, j’ai fini mon livre. Tu veux le lire?
Adultes, nous avons encore ce pouvoir créateur et créatif. Un pouvoir grandiose, magnifique, hallucinant.
Aussi, je vous invite à redécouvrir ce chemin du rêve… en ondes alpha, thêta…Laissez tomber le mode bêta pour un moment…Déployez vos circuits neuronaux comme autant de promenades. Laissez flotter votre imagination tels des explorateurs, des aventurières du Nouveau Monde.
Laissez-vous surprendre par votre talent, vos idées novatrices. Respirez amplement. Ouvrez grand vos poumons aux multiples perspectives. Croyez au meilleur. Rêvez votre vie, écrivez votre roman.

Dans ce texte, j’ai utilisé souvent l’impératif. Je vous rappelle l’usage de ce mode, afin que vous puissiez deviner plus sûrement mon intention…
On emploie l’impératif:
– pour exprimer un ordre, pour faire une demande/ énoncer une exigence, pour donner un conseil, pour faire une supplication, pour interdire, pour donner une instruction, pour exprimer un souhait, pour annoncer une bénédiction ou une malédiction, pour accorder une permission, pour inviter, pour formuler une prière.

 » Parlez-vous-french.com »


Méditation: mieux écouter pour mieux entendre

écoute,partage,silence,disponibilité,Jacques Salomé,dépendance,bienveillance,capacité,confiance,peur,culpabilité

Jacques Salomé : deux textes sur l’écoute

Dans le silence, s’ouvrir à ce dit l’autre… Dans la confiance, parler…

Quand je te demande d’être écouté

Quand je te demande de m’écouter et que tu commences
à me donner des conseils, je ne me sens pas entendu.
Quand je te demande de m’écouter et que tu me poses des questions,
quand tu argumentes, quand tu tentes de m’expliquer
ce que je ressens ou ne devrais pas ressentir, je me sens agressé.
Quand je te demande de m’écouter
et que tu t’empares de ce que je dis pour tenter de résoudre
ce que tu crois être mon problème,
aussi étrange que cela puisse paraître,
je me sens encore plus en perdition.
Quand je te demande ton écoute, je te demande d’être là,
au présent, dans cet instant si fragile où je me cherche dans une parole
parfois maladroite, inquiétante, injuste ou chaotique.
J’ai besoin de ton oreille, de ta tolérance, de ta patience
pour me dire au plus difficile comme au plus léger.
Oui simplement m’écouter… sans excusation ou accusation,
sans dépossession de, ma parole.
Écoute, écoute-moi. Tout ce que je te demande c’est de m’écouter.
Au plus proche de moi. Simplement accueillir ce que je tente de dire.
ce que j’essaie de me dire. Ne m’interromps pas dans mon murmure,
n ‘aie pas peur de mes tâtonnements ou de mes imprécations.
Mes contradictions, comme mes accusations,
aussi injustes soient-elles, sont importantes pour moi.
Par ton écoute je tente de dire ma différence,
j’essaie de me faire entendre surtout de moi-même.
J’accède ainsi à une parole propre, celle dont j’ai été longtemps dépossédé
Oh non, je n’ai pas besoin de conseils.
Je peux agir par moi-même et aussi me tromper.
Je ne suis pas impuissant, parfois démuni, découragé,
hésitant, pas toujours impotent.
Si tu veux faire pour moi, tu contribues à ma peur,
tu accentues mon inadéquation
et peut-être renforce ma dépendance.
Quand je me sens écouté, je peux enfin m’entendre.
Quand je me sens écouté, je peux entrer en reliance.
Etablir des ponts, des passerelles incertaines
entre mon histoire et mes histoires.
Relier des événements, des situations, des rencontres ou des émotions
pour en faire la trame de mes interrogations.
Pour tisser ainsi l’écoute de ma vie.
Oui ton écoute est passionnante.
S’il te plaît écoute et entends-moi.
Et si tu veux parler à ton tour, attends juste un instant
que je puisse terminer et je t’écouterai à mon tour,
mieux, surtout si je me suis senti entendu.

Jacques Salomé


Deux enfants assis au calme dans la nature, l'un lit un livre à l'autre, où comment l'écoute commence et se partage très tôt.
Ecouter l’autre avec bienveillance, quelque soit son âge…

Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler

Accorde-moi seulement quelques instants
Accepte ce que je vis, ce que je sens,
Sans réticence, sans jugement.

Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler
Ne me bombarde pas de conseils et d’idées
Ne te crois pas obligé de régler mes difficultés
Manquerais-tu de confiance en mes capacités ?

Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler
N’essaie pas de me distraire ou de m’amuser
Je croirais que tu ne comprends pas
L’importance de ce que je vis en moi

Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler
Surtout, ne me juge pas, ne me blâme pas
Voudrais-tu que ta moralité
Me fasse crouler de culpabilité?

Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler
Ne te crois pas non plus obligé d’approuver
Si j’ai besoin de me raconter
C’est simplement pour être libéré

Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler
N’interprète pas et n’essaie pas d’analyser
Je me sentirais incompris et manipulé
Et je ne pourrais plus rien te communiquer

Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler
Ne m’interromps pas pour me questionner
N’essaie pas de forcer mon domaine caché
Je sais jusqu’ou je peux et veux aller

Écoute-moi, s’il te plaît, j’ai besoin de parler
Respecte les silences qui me font cheminer
Garde-toi bien de les briser
C’est par eux bien souvent que je suis éclairé

Alors maintenant que tu m’as bien écouté
Je t’en prie, tu peux parler
Avec tendresse et disponibilité
À mon tour je t’écouterai

Jacques Salomé


Méditation guidée: s’accepter

D'ombre et de lumière, chacun de nous est fait...

Voyage méditatif de l’union vers l’unité

Mon malade – et peut-être toute notre époque- est dans cette situation; il me demande angoissé:  » Que faire?  » et il me faut lui répondre:  » Je n’en sais pas plus que vous. »
 » Alors il n’y a plus d’espoir?  » Et je répondrai:  » L’humanité, au cours des temps, s’est fourvoyée d’innombrables fois dans de pareilles impasses où personne ne voyait plus d’issue car chacun était occupé dans sa situation personnelle à tirer des plans savants. Personne n’avait le courage d’avouer que la faillite était générale. Et pourtant soudain, d’une façon inattendue, la lourde machine se remettait à fonctionner, de sorte que c’est toujours la même vieille humanité qui continue d’exister, en dépit de ses transformations.


C.G. Jung  » L’Homme à la découverte de son âme « 

Multitude de bougies allumées comme autant de lumière en soi et dans le monde. La lumière comme support de relaxation proposé par Natacha Feurich, thérapeute psycho-corporel
Multitude de bougies allumées comme autant de lumière en soi, et donc dans le monde

Aujourd’hui, je vous propose de plonger dans  » votre situation personnelle », d’observer l’ombre et la lumière en vous, de les observer en toute conscience comme nous pouvons méditer sur le symbole du Tao.
Le Tao est un symbole d’unité au delà de la dualité. Il est un chemin sur lequel on avance, un souffle qui inspire, un mouvement qui porte…
Nous allons observer ensemble ce qui est doux et ce qui est douloureux, ce qui est clair, qui a du sens et ce qui est insensé et angoissant.
Chaque être qui prend soin de sa propre lumière prend soin de la lumière du monde…

Méditation dans votre propre réalité, tel un voyage alchimique, une lanterne à la main et le coeur ouvert, visiter les contraires intérieurs pour en créer une danse de vie.


Le chant de la Grande Compassion: toucher sa souffrance, celle de ceux qui nous entourent, toucher la souffrance du monde entier.
Décès du maître Zen Thich Nhat Hanh, le 22 Janvier 2022 à Huê, Vietnam.

Méditation: la conscience corporelle

La porte, passage entre l'intérieur et l'extérieur, l'ouverture et la fermeture...

Voyage méditatif: de notre conscience intérieure vers l’immensité

Les trois dimensions qui constituent l’essence même de l’architecture:
le fonctionnel, le spirituel et l’esthétique. – R. Danto Barry, architecte

Porte ancienne, symbole de passage entre l'intérieur et l'extérieur,  support de méditation inspirée par la méthode Feldenkrais par Natacha Feurich, thérapeute et praticienne Feldenkrais
Porte ancienne , symbole de passage entre l’intérieur et l’extérieur, l’intime et le public

Imaginez un instant… si vous étiez une maison, quelle maison seriez-vous ?

Je serais…

Votre type de maison…
Grande, petite…
Nomade, sédentaire…
Construit(e) avec, de …
Localisée à, dans…
L’ environnement…
Les points forts…
Les faiblesses ou la vulnérabilité…
La fonction…
L’entretien nécessaire…
Ce qui vous aimez le plus de votre maison…
Ce que vous aimez le moins…
Ce que vous souhaiteriez améliorer…
Ce que vous y faites…
Un mot, une courte phrase qui pourrait résumer votre maison…

Maintenant, revenez à Vous, à vous-même …Comment pourriez-vous vous décrire?
Par quoi commencez-vous ?
Par l’extérieur, le visible des autres ? Votre physique, votre look…
Par tout ce que vous avez fait dans votre vie, par vos actions ?
Par l’intérieur, par votre façon de fonctionner intimement? Dire vos croyances, votre état émotionnel, ce que votre corps vous permet de faire ou non?…

Méditation guidée pour la prise de conscience de son temple intérieur.

Merci à L. Delibes, le duo des fleurs dans Lakmé

Suite à un problème technique, la méditation du mois de mai a basculé en novembre. Mais, revenir à son ressenti corporel , à la force de son squelette fait du bien en mai comme en novembre, en décembre ou en avril ! Je vous souhaite une bonne pratique …

Méditation guidée: l’amour de soi

lotus rose, symbole du coeur...

Voyage méditatif et visualisation

Qu’est-ce qui vous rend beau, talentueux, splendide et magnifique ?
Don Ernesto Ortiz

lotus rose, symbole du coeur,  support de méditation et de visualisation pour Natacha Feurich
Fleur de Lotus, symbole du coeur et de l’élévation

L’embryon, puis le foetus fait corps avec le corps maternel, relié par le cordon ombilical. A lieu la naissance, le foetus devient un bébé nommé.

La différenciation tant physique que psychique entre l’enfant et sa mère commence dès la conception et continue par étapes successives, plus ou moins harmonieuses, plus ou moins chaotiques tout au long de la vie.
La relation avec le père, ou l’autre adulte présent, s’il y en a un, est différente car il n’y a pas eu de grossesse intra-utérine, ces 9 mois de fusion « être un petit dans le corps de sa mère/ avoir un petit dans son corps « .

Grandir, puis mûrir va consister à sortir de la fusion avec la mère, à se détacher d’elle, à la reconnaître comme autre, à être reconnu par elle comme un autre…
Grandir, mûrir va consister aussi à faire connaissance avec un autre- autre, un presque nouveau, le père (ou une autre figure de référence), à le découvrir, à l’apprivoiser…
La différenciation entre l’enfant et ses parents passe par l’opposition, la contestation, le rejet, le conflit, l’éloignement, tant d’étapes qui se manifestent différemment selon l’âge de l’enfant.

Ce long processus traverse des phases de » Non », pour apprendre à dire « Oui ».
C’est peut-être de cela qu’il s’agit quand on parle de l’amour de soi, reconnaître son besoin intérieur de dire Oui ou Non à l’extérieur, mais aussi à soi pour exister dans le monde.
Le Non et le Oui définissent nos limites, mais aussi tout le champ intermédiaire de possibilités nuancées.

Méditation guidée pour explorer le Non et le Oui afin de clarifier son positionnement et retrouver confiance et amour de soi.


Merci à Ajeet Kaur  » Kiss the earth » et à Gabriel Fauré « Cantique de Jean Racine »

Méditation guidée: la douleur

La lumière comme outil de conscience

De la douleur à l’apaisement

(En prison)… Soeur Tri Hai pratiquait la marche méditative toute la nuit pour rester elle-même et ne pas devenir folle. Elle revenait en elle-même. Sa vraie demeure n’était pas Paris, Londres ou Tra Loc, parce que cette maison pouvait être bombardée et totalement détruite. Le Boudha a dit: « Retournez dans votre île intérieure. Il y a en nous une île sûre. Chaque fois que vous souffrez, chaque fois que vous êtes perdus, revenez en vous-même. Personne ne peut vous prendre votre île. »
Thich NHAT HANH – La paix en soi, la paix en marche

bougies allumées, autant de lumière dans l'obscurité pour Natacha Feurich, psychopraticienne
Lumières dans l’obscurité

Parfois, la douleur est grande, envahissante… D’autres fois, elle est encore petite, si petite que l’on n’y prête pas attention.
Le ressenti de la douleur est très subjectif. Il est lié à notre histoire, à la place que notre sensibilité a pu prendre ou non.

Aujourd’hui, je vous propose de regarder la douleur en face, qu’elle soit grande ou petite, grave ou bénigne.
La regarder en face pour lui donner une place, sa place.
Si vous l’avez enfouie sous le tapis, soulevons-le ensemble avec douceur.
Si vous vous êtes dit  » Pas grave, ça va passer « , et que ça ne passe pas, allons lui tendre la main.


Donner une place à la douleur lorsqu’elle se présente ou dès que l’on s’en sent capable, c’est s’offrir une possibilité d’apaisement.
C’est une façon de prendre soin de son enfant intérieur, d’être un adulte bienveillant à son propre égard et à l’égard du monde.
Je vous souhaite une bonne pratique !

Merci à Alexia Evelyn « Lakota Lullaby », à Snatam Kaur « Mul mantra »


Bert Hellinger  » L’amour de l’esprit ne se demande pas si quelque chose a le droit d’exister. Pour lui, tout et tous font partie de la totalité, de même que nous, tels que nous sommes. »
Petit effort européen car ici Bert Hellinger, citoyen allemand parle en anglais, est traduit en espagnol, et mon blog est en français….L’amour englobe tout et tous !

Relaxation: conscience intérieure

Embryon qui devientl'homme de Vitruve , à sa place dans l'univers

Prise de conscience du schéma corporel et de ses fonctions

Il y a de nombreuses parties de notre corps dont nous n’avons pas conscience.

Moshe Feldenkrais  » Energie et bien-être par le mouvement « 
Ed Dangles

Porte ancienne, symbole de passage entre l'intérieur et l'extérieur, de l'intime et du public  support de méditation pour Natacha Feurich thérapeute à Carcassonne
Porte, symbole d’entrée et de sortie, d’ouverture et de fermeture, passage de l’intime au public.

Imaginez un instant… Imaginez votre maison, celle que vous habitez. Sa façade, son architecture générale, le nombre de pièces, sa décoration… Comment habitez-vous chacune des pièces? Comment faites-vous de l’ordre, le ménage? Quelle attention accordez-vous à votre maison ?

La maison que nous habitons représente à la fois un abri, une protection et un lieu de vie, d’évolution ou de réflexion. La maison répond à un besoin primitif de refuge mais aussi de partage.

Le corps, notre maison intérieure est comme une maison primordiale. La peau en est la première protection.
Plus en profondeur, le squelette en constitue l’architecture de base. La structure qui étaye, tient, soutient. Qui protège aussi les organes vitaux, la moelle épinière pour la colonne vertébrale…
Notre corps, sorte d’ingénieux château fort ( avec ses douves, ses ponts-levis qui ouvrent ou ferment les canaux sensoriels, son mur d’enceinte, son donjon ), abrite une vie extraordinaire.

Aujourd’hui, je vous propose une première exploration de votre maison intérieure. Nous allons explorer les 5 piliers fondamentaux, chers à la méthode Feldenkrais, sans oublier la tête, le toit.
Sentir la force des os, telle celle du tronc d’un arbre, permet de retrouver de l’énergie, sentir les articulations actualise les possibles.
Dans les moments de fatigue, de doute, de mal-être, cette relaxation peut vous aider à retrouver confiance et détente.


Progressivement, en développant votre conscience corporelle, vous ferez de votre maison un temple, un palais, le centre de votre monde, point de départ de toute relation, dans le respect de vos limites, de vos portes réelles et symboliques.


Merci à Léo Delibes ( Lakmé )

Leçon Feldenkrais: un dos souple

La souplesse et la mobilité du chat , un exemple au quotidien

Mal au dos, c’est fini!

C’est la différence entre deux sensations qui provoque la prise de conscience –

Boris Cyrulnick

Chaton en pleine détente à l'image  de cette relaxation proposée par Natacha Feurich, thérapeute


Aujourd’hui, je vous propose une leçon Feldenkrais pour la mobilité du dos.

Vous le savez, vous le sentez, notre dos est fortement sollicité en permanence. Il porte, il tient, il se courbe, penche, se redresse… Mais quand a-t-il du repos ? Quand lui accordons-nous un peu de temps ?
Même la nuit, où il pourrait se reposer, nos rêves, nos cauchemars, la qualité du matelas peuvent encore entraîner des mouvements désorganisés et fatigants.

Cette leçon Feldenkrais est une façon simple de lui porter attention, de nous accorder un repos conscient et bénéfique tout en développant notre souplesse.

Pratiquez à votre rythme, selon vos besoins et capacités du jour. (30mn)