Psychothérapie analytique et Psychanalyse pour mieux se connaître et s’accepter

Une thérapie verbale permet de parler de soi, de sa réalité, à son rythme.
Progressivement, le sujet revisite son histoire et en démêle les fils.
Il n’est pas nécessaire d’attendre l’apparition de symptômes pour entreprendre une thérapie. Cela peut être un outil de connaissance de soi.

dessin du bonhomme qui tient un coeur, symbole du mieux-être grâce à la thérapie

Les bienfait de la thérapie verbale

La thérapie de type verbal permet de faire confiance en sa capacité à s’exprimer au plus juste de soi avec l’assurance d’être écouté et entendu.
Elle favorise l’individuation et l’autonomie.

Le sujet affirme sa valeur, appréhende les évènements de la vie plus sereinement .

Quand mettre en place un thérapie ?

Certains symptômes comme : angoisse, échec, repli, peur, phobie , tristesse, fatigue chronique, dépression, mal-être inexpliqué… peuvent  être une indication pour démarrer une thérapie.

Certains évènements marquants (deuil, abus, répétitions malheureuses, naissance, rupture, maladie, problèmes relationnels…) pourront trouver un temps et un lieu pour être « parlés » en toute confiance.

Comment se déroule la séance ?

La psychothérapie analytique se pratique assis en face à face. Il y a donc un vis-à-vis.
L’introspection est favorisée par l’alliance thérapeutique. Le cadre fixe soutient l’élaboration du sujet lui permettant de remettre de l’ordre et du sens dans sa vie.

La psychanalyse se pratique à raison d’une à plusieurs séances hebdomadaires selon un rythme décidé au départ de l’analyse, mais qui reste évolutif.
L’analysant est allongé. L’analyste est plus discret dans ses interventions. C’est une confrontation à soi plus solitaire et plus longue. C’est un voyage structurant et hautement enrichissant par la réappropriation de son histoire.

Etre adulte, c’est grandir sans cesse. Pour cette naissance à soi-même, toujours renouvelée, un humain a besoin d’un autre, comme un bébé ne peut venir au monde sans accueil.

— Bruno Clavier
 » Les fantômes de l’analyste » éd. Payot